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A bientot
 

[Vidéo] Un renard se demande bien comment emmener un maximum de poulet avec lui

Le renard ne refuse jamais l’opportunité de faire un bon festin et s’il peut emmener des victuailles jusqu’à son terrier, c’est encore mieux.

Des personnes se sont amusées à déposer tout un tas de cuisses de poulet sur leur terrain manifestement fréquenté par des renards régulièrement.

A lire aussi : [Vidéo] Un renard adopte un comportement étrange au passage d’une voiture

L’un d’entre eux, par l’odeur alléché, s’est approché du tas de viande et s’est dit que l’aubaine était trop belle pour passer à côté.

Le goupil essaie donc d’emporter avec lui un maximum de morceaux de viandes mais face à l’ampleur de la tâche, il a bien du mal à trouver la méthode qui lui permettrait d’en emmener un maximum.

@mcj153

♬ Who Let The Dogs Out – Original – The Doggies

Tout savoir sur l’ail des ours

Vous avez certainement entendu parler de l’ail des ours sans peut-être jamais l’avoir cuisiné. Cette plante sauvage qui pousse dans les sous-bois d’Europe est bien plus qu’un simple condiment. L’ail des ours ou « Allium ursinum » est une pépite de la nature avec des propriétés gustatives et médicinales exceptionnelles.

L’ail des ours : la plante sauvage aux mille vertus.

L’ail des ours est une plante sauvage qui se remarque par ses feuilles larges et vertes et pousse principalement dans les forêts humides et ombragées de France et d’Europe. Son nom vient de légendes rurales selon lesquelles les ours, après leur hibernation, consommeraient ces feuilles pour se purger et retrouver leur toute vigueur.

Les feuilles de l’ail des ours apparaissent généralement au printemps, entre mars et juin, et peuvent être consommées crues ou cuites. Elles sont riches en composés soufrés, ce qui leur confère un goût intense rappelant celui de l’ail traditionnel tout en étant plus doux et plus frais. Outre leur goût, ces feuilles sont également connues pour leurs propriétés médicinales : elles sont antioxydantes, antibactériennes, et détoxifiantes.

Contrairement à l’ail commun, l’ail des ours, aussi appelé ail des bois, n’est pas principalement recherché pour ses bulbes mais pour ses feuilles, ses fleurs et ses boutons floraux comestibles. L’huile d’olive est une option idéale pour extraire ses arômes lors de la cuisine. Pour les amateurs de plantes sauvages, c’est un ingrédient de choix qui ajoute une vraie touche de terroir à vos plats.

Les secrets de la cueillette et de la culture.

L’ail des ours est une plante sauvage que l’on trouve facilement dans les bois ombragés et humides. La cueillette doit se faire avec précaution pour ne pas confondre ses feuilles avec celles de muguet ou de colchique, toutes deux extrêmement toxiques!

Soyez attentifs lors de vos sessions de ramassage sinon c’est l’intoxication, il faut donc être très vigilant.

Le meilleur moment pour la cueillir est au printemps, avant la floraison, lorsque les feuilles sont encore tendres et gorgées de saveurs.

Pour ceux qui souhaitent cultiver l’ail des ours dans leur jardin, il est possible de planter des bulbes en automne. Privilégiez un endroit ombragé, semblable à son habitat naturel. Le sol doit être frais, humide et riche en humus. Une fois plantée, cette plante sauvage nécessite peu d’entretien, si ce n’est un arrosage régulier lors des périodes les plus sèches.

Pour la cueillette en forêt, il est important de respecter la nature ainsi que les autres usagers et de ne pas tout ramasser. Prélevez seulement ce dont vous avez besoin pour vos recettes afin de laisser la plante se régénérer, mieux vaut revenir plus tard dans la saison mais bénéficier d’un ail des ours frais et vigoureux! De plus, veillez à bien laver les feuilles et les fleurs avant de les consommer pour éliminer les parasites éventuels ou les traces d’urine qui pourraient y avoir été laissées par un animal.

Des recettes originales pour sublimer l’ail des ours.

L’ail des ours est un véritable trésor en cuisine. Ses feuilles fraîches peuvent être utilisées de multiples façons. Voici quelques idées de recettes pour sublimer ce cadeau de la nature.

Pesto d’ail des ours.

Le pesto ours est une préparation simple et savoureuse. Mixez des feuilles fraîches d’ail des ours avec de l’huile d’olive, des noix (pignons, noix de Grenoble), du parmesan râpé, du sel et du poivre. Ce pesto peut accompagner des pâtes, être tartiné sur du pain grillé à l’apéritif ou servir de base pour des sauces.

Velouté d’ail des ours et pommes de terre.

Pour un velouté ours réconfortant, faites revenir des oignons dans un peu d’huile d’olive, ajoutez des pommes de terre coupées en dés, puis des feuilles d’ail des ours. Couvrez d’eau et laissez mijoter jusqu’à ce que les pommes de terre soient tendres. Mixez le tout, ajoutez une touche de crème fraîche et rectifiez l’assaisonnement au besoin avant de vous régaler.

Beurre à l’ail des ours.

Le beurre à l’ail des ours est parfait pour accompagner des grillades. Mélangez du beurre mou avec des feuilles fraîches d’ail des ours finement hachées, un peu de sel et de poivre. Formez un rouleau avec du film alimentaire et laissez reposer au réfrigérateur. Tranchez des rondelles de ce beurre aromatisé pour faire griller un steak de chevreuil ou des saucisses de sanglier lors du prochain repas entre amis.

Et la saucisse de sanglier à l’ail des ours?

L’idée de recette précédente n’est peut-être pas compatible avec celle-ci au risque de trop en faire à l’ail des ours. Néanmoins, pour ceux qui maîtrisent l’art de la charcuterie, l’ail des ours est un excellent moyen d’ajouter une saveur intense et savoureuse à vos saucisses de gibier. Le sanglier est une viande qui se marie parfaitement avec cette plante aromatique, très appréciée aussi dans les saucissons.

Bienfaits et précautions.

Au delà de la bonne cuisine, consommer de l’ail des ours permet de bénéficier de ses multiples propriétés pour la santé. Riche en vitamines (A et C), en minéraux et en composés soufrés, cette plante est un véritable allié pour renforcer le système immunitaire, améliorer la digestion et détoxifier l’organisme.

Cependant, comme toute plante sauvage, l’ail des ours doit être consommé avec modération. En grandes quantités, ses composés soufrés peuvent provoquer des irritations au niveau de l’intestin. Assurez-vous également de bien identifier la plante avant de la consommer afin d’éviter toute confusion avec des espèces toxiques comme indiqué précédemment.

On le répète mais si vous êtes novice dans la cueillette et l’utilisation des plantes sauvages, n’hésitez pas à vous former sur le tas ou à demander conseil à des experts. La cuisine des plantes sauvages est un art qui demande une certaine connaissance mais surtout une grande prudence.

L’ail des ours, un trésor à découvrir.

L’ail des ours est bien plus qu’une simple plante de sous-bois. Ses arômes apporteront une touche de nature à vos plats tout en vous offrant de nombreux bienfaits pour la santé. Que vous le cueilliez en forêt ou que vous le cultiviez dans votre jardin, cette plante sauvage mérite une place de choix dans votre cuisine. Explorez les recettes, découvrez ses propriétés et laissez-vous séduire par son goût unique et raffiné.

Consommer l’ail des ours, c’est allier le terroir, le plaisir culinaire et la satisfaction de consommer un produit 100% naturel. Profitez-en, mais encore plus avec votre gibier bien sûr!

[Vidéo] La victime d’une attaque probable du loup met en cause l’OFB et dénonce le silence sur cette affaire

Vers la fin du mois d’avril, une femme qui promenait son chien dans la soirée dans le Puy-de-Dôme a été attaquée par un grand canidé. Les morsures lui ont causé plusieurs blessures mais elle est parvenue à se défaire de ce qu’elle pense être un loup.

S’en est suivie une enquête que la victime a bien du mal à comprendre car plusieurs points l’ont intriguée avec le recul comme le fait que les agents de l’OFB en charge du dossier ne demandent pas ses vêtements ni ne prennent de mesures sur elle mais uniquement à travers des photos, ce qui laisse toujours place à un certain degré d’interprétation.

Elle met clairement en cause soit la bonne volonté des agents de l’OFB soit leur professionnalisme et dans les deux cas, cela l’inquiète fortement en cas de nouvelle attaque car pour elle comme pour d’autres, minimiser la dangerosité d’un tel prédateur fait peser un risque sur toute la population.

Camélia s’interroge également du silence pesant qui règne sur son affaire et se demande bien pourquoi personne ne semble vouloir oser prendre la parole ou faire part de son témoignage, même dans les médias locaux.

Elle a également demandé à ses avocats de mener l’affaire en justice afin qu’une expertise permette de découvrir la vérité sur l’attaque dont elle a été victime.

Les sociétés de chasse du Gers dans l’impasse face aux coûts des dégâts de sangliers

Les dégâts causés par les sangliers sont à l’origine de bien nombreuses problématiques d’ordre économiques. Si les premiers touchés directement par ces dégâts sont les agriculteurs, les chasseurs aussi sont confrontés à des difficultés qui pour certains, mettent en danger la pérennité de leur société de chasse.

Dans le Gers, des sociétés de chasse ne savent pas comment payer.

Plusieurs sociétés de chasse se sont rassemblées pour s’entretenir avec les dirigeants de la Fédération des chasseurs du Gers afin d’expliquer que la situation est périlleuse en ce qui concerne leurs finances.

La Fédération des chasseurs du Gers a voté un appel de fonds auprès des associations de chasseurs d’un montant de 1000 euros afin de pouvoir répondre aux indemnisations de dégâts causés par le grand gibier.

Les sociétés de chasse n’ont pas toutes les moyens de sortir 1000 euros de la sorte et un entretien a donc été demandé avec le Président de la FDC.

Pour certaines associations qui ne comptent qu’une dizaine de membres, la cotisation demandée ne dépasse pas les 50 euros, de quoi tout juste financer les charges habituelles mais pas de sortir 1000 euros du jour au lendemain de leurs caisses.

A lire aussi : Les dégâts de sangliers toujours au centre de la fronde des chasseurs en Dordogne

Augmenter drastiquement les cotisations communales serait contraire à l’état d’esprit de certains administrateurs qui militent pour une chasse accessible.

Les représentants des associations ont donc demandé si cet appel de fonds pouvait être annulé mais la Fédération du Gers a répondu par la négative. La Fédération doit pouvoir répondre aux attentes financières qu’on lui accorde, sans quoi, la préfecture pourrait décider de sa mise sous tutelle.

La Fédération pointe du doigt des cotisations trop faibles et un manque d’initiatives.

Les sociétés de chasse ont semble-t-il été vivement recadrées par les représentants de la Fédération.

Impossible pour la Fédération de faire des exceptions, sans quoi, toutes les associations vont tenter de se défiler et les fonds ne seront jamais collectés.

La FDC se défend en expliquant que cette mesure a été votée lors d’une assemblée mais que les chasseurs concernés ne s’intéressent pas aux débats quand ils ont lieu et ne votent pas.

Le fait que les sociétés de chasse refusent d’augmenter leurs cotisations n’est pas concevable pour les responsables fédéraux. Tous les loisirs ont un coût et la chasse n’est aujourd’hui pas différente des autres disciplines.

Quand bien même, la cotisation ne devrait pas évoluer, il existe des façons de faire entrer de l’argent dans une société de chasse comme l’organisation d’un repas, la préparation et la vente de la venaison, etc.

Visiblement, le discours des uns et des autres est resté le même tout au long de l’entrevue mais personne n’a tenté de faire un pas en avant.

La Fédération est manifestement restée sur ses positions, estimant que les chasseurs devaient mettre la main au portefeuille et revoir leur copie sur leur manière de gérer leurs comptes.

Du côté des associations, certaines affirment mettre leurs comptes en standby le temps de voir si une solution pouvait être trouvée. Si ce n’est pas le cas, des bureaux entiers décideront de démissionner et quelques-unes pourraient tout simplement disparaître.

[Vidéo] Un chevreuil chasse un faisan de son chemin

Contrairement aux croyances qui commencent à s’insinuer dans l’esprit du grand public, le monde animal est loin d’être un long fleuve tranquille ou tous les animaux de la forêt s’entendent et s’entraident.

Il y a d’une part les prédateurs et les opportunistes comme les sangliers, les corbeaux, les renards, les fouines ou les pies qui ne refusent jamais d’avaler un petit animal ou quelques œufs mais même entre les animaux qui ne sont pas classifiés comme prédateurs, les choses ne sont pas toujours au beau fixe.

A lire aussi : [Vidéo] Un beau petit brocard complètement alcoolisé

Le chevreuil peut aussi se montrer relativement agressif, surtout en cette période ou leur consommation de bourgeons a tendance à leur faire tourner la tête.

Dans cette vidéo, un faisan s’est retrouvé sur le chemin d’un brocard qui perd patience et fonce droit sur l’oiseau pour le faire déguerpir.

Insultes envers les chasseurs : Nagui persiste dans « N’oubliez pas les paroles »

Certaines stars de télévisions profitent de leur statut pour mettre sur la place publique leurs opinions et leur idéologie. C’est le cas de Nagui, présentateur de France 2 qui ne manque pas une occasion d’orienter le débat sur la chasse avec des propos systématiquement insultants.

Un discours anti-chasse dans son émission « N’oubliez pas les paroles ».

Les Français ont pu encore une fois profiter du discours plus que douteux de Nagui dans son émission du soir sur France 2 lors d’un échange avec le Maestro du jour, professeur de SVT, qui donne son ressenti sur la façon d’exercer son métier.

Rapidement, le présentateur oriente le débat vers la biodiversité et la chasse tandis que devant notre écran, nous avons vu arriver de loin le coup bas de la part du présentateur, habitué aux incartades de l’homme connu pour être un anti-chasse notoire.

En effet, depuis 2019, Nagui s’attaque régulièrement aux chasseurs à travers les émissions qu’il anime. Ce fut le cas par le passé dans cette même émission « N’oubliez pas les paroles » diffusée tous les soirs de la semaine en première partie de soirée ou il avait expliqué nettement « préférer qu’un lapin tue un chasseur » mais aussi lorsqu’il animait encore « Tout le monde veut prendre sa place », le jeu du midi de France 2 ou il avait tout simplement attaqué Willy Schraen et affirmé que tous les chasseurs étaient des alcooliques notoires.

Comme un suidé tout émoustillé par la vue d’un champ de maïs encore intact, Nagui s’est donc empressé de rebondir sur les propos du professeur de SVT en s’attaquant une nouvelle fois aux chasseurs, toujours avec le même cliché de l’homme bourré qui tire sur les promeneurs.

Alors que le professeur nuance justement les propos de Nagui en expliquant que contrairement à ce qu’il dit, il y a du positif dans la chasse qui sert notamment à réguler les espèces, le présentateur ne parvient plus à se retenir d’insulter une nouvelle fois tous les chasseurs de France à une heure de grande écoute :

« Elle peut être régulée, surtout si on ne tire pas sur les cyclistes et les piétons dans les forêts quoi! On va commencer par ça. Et à mieux viser! Et à être à jeun! »

Un acharnement cautionné par l’Arcom (ex-CSA).

Déjà en 2020, les chasseurs avaient tenté une démarche auprès du CSA (devenu l’Arcom) afin que l’animateur soit sanctionné pour ses propos insultants. Il est difficile pour les millions de personnes proches de la chasse de s’entendre dire qu’on est un poivrot de façon totalement gratuite, encore plus à la télévision.

Malheureusement, l’autorité a considéré jusqu’ici que les propos tenus par Nagui ne dépassent pas les limites de la liberté d’expression. Ce dernier peut donc allègrement s’en prendre aux chasseurs et les traiter d’alcooliques en toute impunité tout en continuant d’inciter au véganisme, ce qui est aussi une composante récurrente de ses émissions.

Être écolo, bienveillant avec les animaux et la planète, voilà le laïus préféré du présentateur de France 2 qui n’hésite pourtant pas à embarquer dans son jet privé pour assister à un match de football en Allemagne…

Cette nouvelle attaque gratuite envers les chasseurs n’est probablement pas la dernière de la part de Nagui mais comme souvent, les nemrods de France devront faire le dos rond.

[Vidéo] Un daim rend visite à un pêcheur

A la chasse comme à la pêche on espère toujours revenir avec une belle prise, un poisson de belle taille qui fera notre fierté et qu’on pourra relâcher, ou qui régalera nos convives lors d’un prochains repas, c’est selon !

Mais aller à la pêche c’est aussi partager de paisibles moments dans la nature qui peuvent parfois s’avérer insolites. Voici un pêcheur qui ne va pas manquer de « chance » lors d’une sortie.

Alors que de temps à autres, des ragondins ou quelques cygnes aventureux viennent rendre visite aux pêcheurs, ici c’est un magnifique daim à palette qui va traverser la rivière et accoster au beau milieu des lignes.

C’est une double chance pour ce pêcheur que l’animal n’emmène pas les lignes ni ne les casse avec ses magnifiques bois.

[Vidéo] Un homme filme son bassin pour découvrir qui lui vole ses poissons

Posséder un petit bassin dans son jardin est un plaisir que de nombreux Français apprécient grandement. Il est certain que de pouvoir observer les poissons évoluer dans l’eau près de sa terrasse est un bonheur pour bon nombre de passionnés de la nature mais un tel aménagement nécessite pas mal de travail.

Hormis la création du bassin qui représente un travail conséquent, il faut s’assurer que ses petits pensionnaires y seront bien et pourront y vivre pendant de longues années.

A lire aussi : [Vidéo] Face à face tendu entre un renard et un héron

Parfois, cet avenir est compromis par des intempéries, des voleurs ou encore des prédateurs qui n’hésitent pas à venir très près des maisons pour se remplir la panse.

Dans cette vidéo, un homme décide de filmer en direction de son bassin d’où plusieurs de ses poissons ont disparu. Lorsqu’un héron approche, on comprend rapidement quelle sera la suite de la scène et l’échassier va rapidement faire toute la démonstration de ses talents de pêcheurs.

[Vidéo] Un moment hors du temps : le patou au milieu « des siens »

Depuis le retour du loup en France et un peu partout en Europe, le patou est devenu un chien incontournable au milieu des troupeaux en montagne comme en plaine.

Intégré au milieu des bêtes qu’il a pour mission de défendre dès son plus jeune âge, ces chiens de défense se sentent comme un membre à part entière du groupe et donneraient leurs vies pour empêcher les loups de s’en prendre à ce qu’ils considèrent être leur famille.

A lire aussi : [Vidéo] Un énorme sanglier poursuivi par des patous

On voit beaucoup de vidéos de patous relativement agressifs a l’approche de promeneurs ou lors d’échanges musclés face à un ou plusieurs loups sur les réseaux sociaux.

A l’inverse on en voit assez peu qui mettent le patou en valeur et qui montrent à quel point le troupeau a pu intégrer ces précieux gardiens.

Un vidéaste a pourtant décidé de poster l’une de ces vidéos ou l’on peut vivre un moment hors du temps, qui démontre combien les chiens sont adoptés par les brebis et à quel point cette relation est profonde.

@everythingmakessense2 #viral #tiktok #Liptov #slovensko🇸🇰 #doglove #pyrenees #pyrlandia #ochranaovcichcriedliptov ♬ When I See You – Gabriel Albuquerqüe & Piano House

Attaque de loup en Auvergne : la victime saisit un avocat pour demander une nouvelle expertise

Le 27 avril dernier, une habitante de Chamalières dans le Puy-de-Dôme a était victime d’une attaque de canidé vers 23h comme nous en parlions dans notre article alors qu’elle était partie promener son chien.

Pour la victime Camélia, il y a une grande présomption qu’il s’agisse d’un loup, mais cela ne semble pas être la thèse retenue par les agents de l’OFB venus mener une « enquête ». Nous utilisons des guillemets car d’après Camélia, les agents n’auraient pas tout mis en œuvre pour faire toute la lumière sur cette attaque, elle à donc décidé de saisir un cabinet d’avocats, après 15 jours d’ITT.

Lors de l’attaque, l’animal a tout d’abord mordu au niveau de la gorge puis au niveau des bras, une pratique que l’on retrouve chez le loup à l’instar du chien qui lui, aurait tendance à s’attaquer aux membres inférieurs. Camélia assure avoir eu peur pour sa vie et se demande ce qui serait arrivé si l’ami chez qui elle était ce soir là n’était pas sorti tirer un coup de feu en l’air lorsqu’il a attendu des cris dans la nuit…

Camélia et ses Avocats ont décidé de déposer vendredi dernier une requête en référé auprès du tribunal administratif de Clermont-Ferrand afin que soit nommé un expert . « Face aux doutes légitimes de certains, nous avons besoin d’une vérité scientifique et judiciaire » explique Maitre Portejoie. « Les conséquences en matière d’indemnisations, notamment, seront différentes si l’attaque a été perpétrée par un chien ou par un loup. » En d’autres termes, si l’attaque provient bien d’un loup, la responsabilité de l’État sera engagée dans la mesure ou le loup est une espèce protégée.

De son côté, la préfecture de l’Allier ne semble pas pencher pour une attaque de loup comme elle l’a expliqué : « le nécessaire a été fait pour vérifier s’il s’agissait bien ou non d’une attaque de loup. Aucun élément ne prouve qu’il s’agisse d’un loup. Pour autant, d’autres vérifications sont en cours. Aujourd’hui, aucune trace d’un loup n’a été constatée sur les lieux et le périmètre. Si nous avions le moindre doute, nos services auraient déjà mis en place des battues. »

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