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.·:*¨ Les dortoirs des Covens .˚ˑ༄

Nous vous avons dévoilé il y a peu les différents covens de Loranthas, il est temps de découvrir les dortoirs qui y sont rattachés. Ils sont au nombre de quatre et peuvent changer d'attribution selon les années. En effet, comme expliqué quelques posts plus tôt, les dortoirs sont choisis par les élèves en fonction du classement de leur coven, ainsi le coven remportant la coupe est le premier à choisir son lieu de résidence pour l'année à venir. Voilà quelques années que les Absinthes s'accaparent la Tour Nuage, en sera-t-il de même lorsque vous viendrez étudier à Loranthas ?

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Malleus fait sa promenade nocturne en passant par le dortoir de Ramshackle qu'il croyait inhabitable mais il a remarqué qu'il y a des lumières sur les fenêtres, en face du grillage de ce dortoir il y a une jeune fille regardant vers le ciel. Par curiosité Malleus avance de plus près et pour la première fois qu'il a vu une humaine avec des cheveux bruns, yeux bleus, deux cicatrices une sur la joue et sur le coup et uniforme bleu.

??? : Que c'est joli cette lumière verte. On dirait des feux feu follet ! *Se retourner* Hum ? Oh bon soir !

Malleus : Oh bon soir, je t'ai jamais vu ici ?

??? : Oh parce que ma grande sœur et moi on est apparue il y a quelques jours et on cherche un moyen pour rentrer dans notre monde !

Malleus : Dans votre mode ?

??? : C'est un peu compliqué, ma sœur et moi même on est téléporté dans ce monde, ma sœur Zafira croyait que le directeur de ce collège nous a kidnappés. Hé hé ^w^'

Malleus : Je vois... Et comment t'appelles-tu ?

??? : Je... je m'appelle Yuri ! Et toi comment tu t'appelles ?

Malleus : Moi je suis... non attend je préfère que tu restes sur l'ignorance !

Yuri : Hein pourquoi ?

Malleus : C'est pour ton bien je t'assure, à la place je te donne la permission de me donner par le nom ce que tu désires !

Yuri : Oh d'accord je vais réfléchir un peu... bon sens bon soir ça va être compliqué...

Zafira : Yuri ! Rentre il est tard !

Yuri : Ah désolé on se verra peut-être demain ou pendant les cours.

Malleus : Alors je te dire à très bientôt l'enfant l'homme.*se téléporté*

Yuri : *Pense : l'enfant l'homme ?* Oui bonne nuit.

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La pluie

Dans le dortoir

Et dodo

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Link ou BEN ? x Reader

Hey hey hey ! Si vous aimez cette histoire et qu'elle n'avance pas assez vite à votre goût, vous pouvez toujours en lire d'autres tout aussi palpitantes sur mon compte Wattpad <3 :

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IMPORTANT :

Ça fait une éternité que je n'ai pas joué aux jeux Zelda et NON je n'ai pas joué au nouveau :') Me bâchez pas pliz-

Parcontre, si -> Je dis de la merde <-

Reprenez moi sans vergogne XD

Bonne lecture ! ____________________________________________________________

[Narrateur à la 1e pers.] [Dans notre monde.] [Pov : ???]

Il y a de ça quelques années, les premiers jeux de Zelda ont fait un carton.

Notamment Zelda Majora's Mask, sur la Nintendo 64, sorti en l'an 2000. Bien que le jeu et les graphismes pouvaient parfois être simplistes voire laisser à désirer, l'histoire et le gameplay ont séduit bon nombre de joueurs.

Dont moi.

Lorsque je n'étais encore qu'un gamin, j'avais l'une de ces fameuses Nintendo 64. Elle m'avait été offerte par mon grand père. Je ne possédais pas beaucoup de jeux à l'époque, mais je ne m'en plaignais pas. Mon favoris était, oui, Zelda Majora's Mask.

Ce ne sont que des années plus tard, à présent grandis, que j'ai cours à l'Université. Au début de mon parcours universitaire, j'avais appris que mes parents avaient emménagés dans une petite banlieue tranquille. Alors, un 28 août, j'ai décidé de leur rendre visite.

Au moment de prendre le chemin du retour, après un bon 3 heures à converser autour d'une tasse de café, c'était à ma grande joie que mon père m'avait redonné ma vieille Nintendo. Heureux de pouvoir rejouer aux jeux de mon enfance, durant le trajet alors que j'étais entrain d'y penser, j'apperçu une rue différente des autres. Dans celle-ci, plusieurs maisons s'adonnaient à des ventes de garage. Une idée avait alors germée dans un coin de mon esprit, celle de pouvoir trouver d'anciennes cartouches de jeux.

En parcourant diverses de ces ventes de garage, j'en étais arrivé à tomber sur le fameux jeu de Zelda. Il était dans une boîte avec d'autres jeux, mais aucun autre sur la même console. Cette boîte se trouvait entre quelques tableaux à l'art douteux et d'autres babioles toutes aussi étranges. Et alors ?

Eh bien, vous n'imaginez pas ma joie à ce moment-là. La cartouche de jeu était mise à la vente par un vieil homme qui avait tout bonnement le même aura que ceux dans les films d'horreur. Mais un aura étrangement généreux et sympathique, car au lieu de me la vendre, il me l'avait donné gratuitement.

Ainsi, je l'avais juste remercié poliment sans me poser d'avantages de questions. À cette époque, les films d'horreur n'avaient pas tous ce même début de piège.

Puis je me suis rendu à mon dortoir universitaire, hâtif de pouvoir rejouer à Zelda Majora's Mask.

Et...

C'était donc là que mon pire cauchemar... Mon ébat contre les ombres, eut commencé. Comme Il le dit si bien... Je n'aurais pas dû faire ça.

Ce n'est que plus tard, les mains crispées sur la manette en étant couvert d'un profond malaise, que je fixai mon Link brûler sur place dans une posture glitchée. La statuette de BEN, se trouvait devant moi, positionné à côté du vendeur au sourire effrayant. Qui est BEN ? Je ne savais pas, et je ne suis toujours pas sûr. Il m'avait juste dit qu'il était mort noyé, et qu'il voulait être libéré.

Je pense... Je ne sais plus... Avoir donné plus d'informations sur mon blog... Il fallait que j'en parle. J'ai essayé d'en parler. J'ai vraiment essayé...

Mais BEN me contrôlait et me guidait malsainement peu importe ce que je voulais faire, surtout sur le net. Il prenait contrôle de tout objet électronique avec lequel j'utilise. Lorsqu'il veut me parler plus clairement, on tchatte sur un site appelé CleverBot. Si je refuse, il me tourmente, encore et encore.

I have something to show you. Go play (J'ai quelque chose à te montrer. Va jouer)

Avait-il dit une fois. Je lui ai donc répondu.

I don't want to... (Je ne veux pas...)

Sur ce, j'avais arrêté de lui parler et je n'avais pas été jouer comme il me l'avait ordonné. Mais comme je l'ai précisé, il avait continué de me tourmenter, par vengeance ou bien par manipulation. Je voyais son image, celle de Ben, dans des endroits où il n'était pas supposé être. Si je faisais une recherche internet, il apparaissait, avec ce sourire dérangeant.

Je... Je n'en peux plus... Je n'arrivais plus à dormir, les nuits. Je le voyais même dans mes cauchemars. Lorsque j'étais seul dans ma chambre de campus universitaire, j'avais l'impression qu'il était là. Je sentais... Son aura. Depuis que j'ai joué à la cartouche de jeu, et qu'Il me manipule, je sens cette aura horrifiante n'importe où. N'importe quand. Et le pire. C'est que je ne sais toujours pas quand est-ce qu'il compte en finir...

J'avais besoin de sortir de ma boîte à terreur et à solitude, où j'allais devenir complètement fou. Ça faisait quelques jours déjà que je sentais les mêmes symptômes que celles de la dépression. Je ne sais pas si c'était parce que je ne voulais pas, ou si c'était car je pensais que je ne pouvais pas aller en cours, mais j'ai commencé à créer des excuses pour ne plus y aller. Déjà car je n'en avais plus la force, mais ensuite car je n'en avais plus la concentration ou la motivation.

J'avais alors décidé de revenir au nid familial, quand je sentais que j'allais craquer... J'avais besoin de réconfort, de visages rassurants. J'avais finalement envisagé cette idée uniquement après deux putains de mois d'hantises sans donner de nouvelles à personne.

Je n'avais pas préparé des centaines de valises, seulement une et un sac à dos suffisaient. J'avais zieuté ma Nintendo 64, et en avait avancé la main vers elle, mais je me suis stoppé dans mon élan.

Et décidé de la laisser là-bas.

Face à ma requête, mes parents étaient à la fois inquiets mais heureux, que je vienne. Ils ignoraient tout de ma situation actuelle, et je ne comptait pas la leur dire. Je veux juste me bercer d'illusions d'espoir, en retrouvant mes proches.

Ils m'ont installé dans une chambre d'invitée qui était assez simpliste. Ils ont gardé quelques uns de mes anciens meubles, comme le lit, mon bureau ou les commodes, mais la décoration m'était étrangère. Même si au fond, peu importe.

J'ai donc installé mon ordinateur portable sur mon ancien bureau, et ai placé ma Nintendo 64...

Et... Ai placé ma Nintendo 64...

À peine la console prit, je la relâcha en me crispant et elle retomba dans le sac. Ce n'est pas possible... CE N'EST PAS POSSIBLE.

"- Je... Je ne l'ai pas amenée avec moi..." Murmurais-je pour moi-même en tremblant...

J'entendis des pas lourds dans le couloir, ainsi que les craquements du plancher. C'était mon père, à coup sûr. Vu que j'ai laissé la porte ouverte, j'entendis sa voix rauque et calme.

"- Tout va bien, bonhomme ? Bon je sais que tu n'es plus un p'tit gars, mais sache que ta mère et moi, nous sommes vraiment heureux que tu sois à la maison."

J'étais ensuite resté, planté là, à observer la console pendant quelques secondes silencencieuses. Puis je lui répondit que j'étais également heureux.

La nuit tombée, de nouveau, je ne pu m'endormir. Mais cette fois, ce n'était pas à cause de ma conscience, ou de mes nombreuses visions cauchemardesques. Mais c'était littéralement de Sa faute.

Il faisait exprès ; Il me spammait de messages sur CleverBot. Même en mettant mon phone à silencieux, même en l'éteignant, même en sachant que normalement CleverBot ne peut pas envoyer de notifs, bordel. Le son des notifications qu'il m'envoyait étaient agaçant. Il voulait clairement que j'allume ma Nintendo. Il voulait jouer.

Do it. (Fais-le.)

Do it.

Do it.

Do it.

Do it.

Do it.

LEAVE ME THE FUCK ALONE (LAISSE MOI PUTAIN DE TRANQUILLE)

Last chance. (Dernière chance.)

Or what? (Ou quoi?)

Or you'll be the one who meet a terrible fate. (Ou tu seras celui qui rencontrera une terrible fin.)

Cette dernière phrase me fit trembler d'un coup sordide. J'ai froid, et je suis déjà mort de peur. Donc je peux vraiment mourir ? Et comment il va faire, pour me tuer ? Produire une décharge électrique ? ET PUIS QUOI ENCORE ?

Je suis venu ici pour échapper à ça, et me voilà encore en face de lui.

Go fuck yourself.

Sur ce, je me redresse brusquement sur mon lit. Le phone se remet à faire des bruits de notifications. Dans une poussée d'agressivité, je fracasse le portable de toute mes forces contre le mur. L'écran se brise en morceaux et quelques bouts mécaniques s'effondrent n'importe où sur le sol. Pourtant, de ma position, je constate l'écran qui est toujours allumé.

Sans savoir pourquoi, mon cœur se met à éclater dans ma poitrine. Tellement que j'ai peur de frôler la crise cardiaque. Mon souffle s'accélère et tremble sous la peur. Même en l'ayant éclaté sur le mur, il demeure fonctionnel. Ce bordel...

"- Laisse-moi tranquille... Ben..."

Soudain, du téléphone, un enclenchement vocal se fait entendre. Un son comme lorsqu'on fait "Dit Siri". Puis un rire méchaniquement enfantin sort de l'écran. C'est insupportable. Cette voix est malsaine et malveillante. Le rire tourne en boucle comme si c'était un sombre enregistrement. Ça ne s'arrêtera pas, non, tant que je ne ferai rien. J'ai toujours les foies. Mais c'est grâce à ça, que je réussis à empoigner ma couverture bleue, de la dégager de sur moi, de me lever et de marcher d'un pas non assuré vers la petite machine électronique.

Le rire est toujours en cours, lorsque je le prends. L'écran est si craquelée que je ne vois pas quelle application a employée Ben. À bout de nerf, je serre les dents. La peur et la frustration se font violence en moi. Les heures de sommeil manquées commencent à se faire sentir. Mes cernes témoignent de ma fureur. Ça fait... Deux mois.

Le rire continue de se moquer de moi. De se moquer de ma frustration, de mon désespoir. Une idée aussi sombre que Sa personnalité me surgit dans la tête. Sans me soucier du plancher qui craque comme un appel à l'aide, je n'ai qu'un endroit en tête.

J'arrive dans la salle de bain et allume aussitôt la lampe torche du téléphone. Et écrase celui-ci sur la surface de la cuvette de toilette. Dans le bain, je met le bouchon et active la chapelure d'eau. La baignoire se remplit peu à peu.

Je l'observe avec amertume et satisfaction, avant de prendre le téléphone, puis mettre la caméra bien en joue sur l'eau sombre : l'éclat de la lampe du téléphone fait un reflet semblable à la lune sur la mer.

"- Et ça, ça t'amuse, p'tit con ?"

Le rire se tût instantanément et un silence de mort arrache la place. Un rictus mauvais apparaît au coin de mes lèvres. Cependant, le silence glacial se brisa par quelque chose de plus inquiétant, encore. Cette fois, au lieu d'un rire machiavélique, se fait entendre... Un halètement. Une respiration lourde mais remplie de glitchs, à l'autre bout du fil.

"- T'as les foies, là, hein ?" Murmurais-je avec agressivité. "Alors ça fait quoi ? T'as du fun ?"

"- Tu n'aurais pas dû faireça."

À peine sa phrase prononcée, je lâche sans remords le téléphone dans l'eau et tout bruit ainsi que source de lumière se meurtrie instantanément. Je pousse un soupir de relâchement.

Ce doit être mon cerveau qui est saturé, mais mon sentiment d'apaisement fut vite interrompu, une fois le pied mis dans ma chambre. La télévision était ouverte sur la lune de Majora's Mask, avec la musique de Healing qui se joue avec les mauvaises notes.

La Nintendo n'est absolument pas connectée. En fait, rien n'est connectée à cette télévision, je ne l'avais jamais ouverte depuis ma venue.

"- ... Ben..." Prononçai-je plus comme un appel qu'un effroi.

La bouche de la lune se mit à bouger :

"- Won--- der-- ful-- Moon. Congra---tulations, He---rrr--o." (Merveilleuse lune. Félicitations, héros.)

Les mots avaient plusieurs intonations comme si BEN pigeait ces mots sur... Le Web...?

"- No-ot. Won---der--ful----en--o-o-ough." (Pas assez merveilleuse.)

Je me pinça l'arrête du nez. Depuis plusieurs minutes déjà, mon corps s'était habitué à remplacer la terreur par la colère et l'impatience. Mes nerfs allaient lâcher et ça me prit tout pour ne pas hurler ces mots :

"- Que. Me. Veux. Tu. À la fin ?"

"- Pl--aaa-y. Wit--h y--yo--u." (Jouer avec toi.)

"- Et ce n'est pas ce que tu fais depuis 2 mois !?"

"- W-wh--y b-b-b-bee--ing--so --st-ubbo--rrn ? I---I on-ly wan--t a f--rrriend. Co-nnn-ect your N-n-n-nint-t-tend--o." (Pourquoi être si têtu ? Je veux seulement un ami. Connecte ta nintendo.)

En soupirant sombrement, je la sortit de mon sac. Pourquoi est-elle là ? J'entends déjà mes lecteurs écrire "moi, je l'aurais brûlé, mis au chemin, donnée même". Et croient-ils que je n'ai pas essayé ? Croient-ils que je ne me suis pas arraché mes cheveux lorsque je me rendais compte que la Nintendo trouvait le moyen de réapparaître comme par magie ? Et la cartouche, même ?!

Je m'asseyai devant la TV, posant la nintendo en face. Je précisa que je n'avais amené aucun fil et qu'aucun, exactement comme la console, n'était apparu des enfers.

"- Y--ouu- Do--nnt--NEED--it." (Tu n'en as pas besoin.)

(C'est ainsi que Ben créa le Bluetooth- XD (Pardon.))

Lorsque j'appuyai sur le bouton de démarrage de ma console, rien ne se passa. Après tout ce qui se passait, je m'attendais à ce qu'elle s'allume tout aussi magiquement que les autres situations improbables.

"- Ça ne marche pas." Maugréais-je.

Les yeux encore sur la console, le même rire insupportable que tout à l'heure raisonna et lorsque je regarda l'écran de la télé, la lune avait disparu. Elle avait fait place à un jeune garçon plutôt réaliste, au sourire malfaisant. Ses yeux étaient saignants et sa peau était grise bleutée.

BEN drowned...

"- I-I-I don't NEED i-it t---to b-b-be t---urn--ed O-on. I-I-I ju--ust NEED y---yo-u to b-b-be neeear i-it." (Je n'ai pas besoin que ce soit allumé. J'ai juste besoin que tu en sois proche."

"- Qu--"

Soudain, je ne su absolument pas si j'étais devenu fou. Mais...

Ben tira les bras vers moi avant que des doigts ne sortent de la télévision, allant s'appuyer à son rebord. À partir de là, tout se passa bien trop vite. Et dans cet ordre :

Son sourire figé. Sa forme réaliste sortant de la télévision. Mon cri d'horreur.

Puis le noir.

Et enfin... Le bruit du vent.

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S'appelant Pierre il les aimait toutes : il courtisait les belles murailles, les arcades et les coupoles.

C'était lors d'un retour de vacances – fin d'été, petite mélancolie. Pierre avait dit à l'enfant : nous avons le temps de visiter Fontenay. Et il s'était mis aussitôt en quête d'une chambre dans les parages (les petits hôtels existaient encore).

De l'excursion, l'enfant garde le souvenir d'une lumière blonde ; il revoit dans cette clarté la chevelure blanche de son père (le dit Pierre), ses yeux verts – curieux et attentifs ; il entend sa voix qui explique. L'enfant, le plus souvent, l'écoute d'une oreille inattentive. Les pierres l'ennuient un peu ; Pierre aussi.

Pourtant cet après-midi-là, une main l'entraine, lui donne l'envie d'avancer seul sous les voûtes de l'église abbatiale, dans l'immense nef dénudée, sans décor aucun. Un trouble, un affolement (la lumière blonde peut-être ?) Et toujours cette main ferme qui le presse. Partout la pierre désigne le vide et semble lui donner forme. Partout cette nudité, ce dépouillement : dans le dortoir des moines, dans la salle capitulaire, dans le cloitre. La pierre, seule. Aucune image, aucune histoire. Le sentiment, pourtant, qu'il ne manque rien, que tout est sa place : une sorte d'harmonie, de joie. Quelque chose qui remue, qui bouleverse et apaise au même instant. La pression de la main entre les omoplates a cessé. L'enfant est seul. Pierre le cherche et l'appelle.

Des années après, il trouve dans un livre les mots d'Emily Dickinson : « Si nous atteignons le silence nous n'aurons pas peur car là où rien ne se trouve il y a Dieu. ». Il repense à Fontenay. À la beauté, à la lumière blonde.

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Le 26 Avril de Pobena à Islares 25 km.

Hier soir j'ai fini l'étape avec Sébastien et nous avons passé une excellente soirée avec un menu pèlerin traditionnel et équilibré avec entrée pâtes à la bolognaise et plat poulet frites 😂

À table il y avait toutes les nationalités et la conversation était en anglais.

Le soir Juan un Andalous avait un peu abusé de l'alcool et a créé l'animation dans le dortoir.

Ce matin nous avions le choix entre deux chemins le côtier étant plus court j'ai choisi de le prendre.

Au bout de 2 km chemin fermé pour éboulis.

Un peu en colère j'ai vu qu'il y avait un trou dans le grillage et avec Géraldine une irlandaise nous avons passé l'obstacle. En fait il était déjà réparé et 200 M plus loin nous avons refait la même chose. Ce fut donc un chemin magique et sans pèlerins. Nous avons passé un excellent moment avec Géraldine qui s'est reposée à Castro me laissant seul finir l'étape.

Ce soir je suis tranquille dans une chambre d'hôtel car la nuit dernière il semblerait que j'ai fait un peu de bruit...sans doute le vin rouge espagnol.

Ultreeia

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saga: SOUMISSION / DOMINATION 178

La touze 2011 - 1

Toute la semaine qui a précédé la touze, avec Samir, Ammed et Jimmy quand il n'était pas auprès des clients, nous avons préparé la maison.

Le donjon a été revu, de la vérification des attaches aux lits de l'étage, des réserves de savon et PQ à celles des gels, kpotes et graisse à fist en cas de besoin.

La salle de muscu qui plaira sûrement à certains pour y baiser à coup sûr mais aussi à mettre les corps en valeur (je pense aussi bien à Ric qu'à moi même et même second, sans compter Arnaud qui ne sera pas insensible à paraitre sous son meilleur jour).

Le baisodrome du premier et le nouveau dortoir du second ont été équipés de leurs propres réserves de consommables pour jeux sexuels, les grandes glaces du premier dépoussiérées pour les plus narcissiques d'entre nous. Avec Samir, j'ai fait un saut chez le marchand de " linge de maison" chercher notre commande de draps de bains et peignoirs. Pour éviter l'effet maison de convalescence, nous les avons pris de toutes les couleurs de l'arc en ciel.

Au dernier moment, je pense aux baises qui auront lieu autour de la piscine. elles vont produire une bonne quantité de sperme qui devra disparaître avant que les corps plongent à nouveau dans l'eau. Les douches de la salle de muscu ne suffiront pas et surtout seront trop éloignées pour qu'il n'y ait pas un mec couvert de sperme à tomber dedans ! J'appelle en urgence Maçon et lui explique la problématique. Il arrive le lendemain avec Second et surtout avec la solution. Quatre douches d'extérieurs avec leurs bacs qu'ils installent en bout de terrasse. Seul marque de mon imprévoyance, les tuyaux d'arrivée et d'évacuation. Second y avait pensé et ils les ont recouvert d'un espèce de tube carré coloré façon bois.

Dans la semaine, j'ai reçu aussi ma commande de maillots de bains. Entre ES et Aussiebum, ce n'est pas moins de 60 boxers et slips que nous avons reçus. Deux par participant à notre touze, c'est cadeaux pour l'été. Comme j'avais prévu que nous aurions quelques impondérables, j'ai même ce qu'il faut pour note dernier invité, Second.

Nous aurons finalement 30 invités auxquels Marc, Jimmy et moi nous nous ajouterons ! Heureusement que la maison est isolée sinon les bruits qui vont s'en échapper ferraient jaser dans le village !

Comme la semaine avance, l'excitation monte dans la maison.

Jeudi : retour de Marc (je n'irai pas voir Emma cette semaine).

Il ne bosse pas vendredi. Dès qu'il entre dans la cour, je me précipite vers lui. Il m'a manqué comme à chaque fois. Nous nous embrassons passionnément. En simple short en jeans coupé, je sens se développer contre mon sexe déjà bandé sa propre bite. Je le pousse contre sa voiture et m'agenouille rapidement. En descendant j'ai pris soin de défaire sa ceinture et de baisser pantalon et slip en même temps. Ma bouche vient chapeauter son gland. Je me l'enfonce profond jusqu'à ce que mes dents buttent sur son pubis et mon menton sur ses couilles. Ses mains viennent derrière ma tête appuyer pour vérifier que je ne peux en prendre plus. En apnée, je sens mon sang affluer au visage. Il me relâche. J'entame alors une pipe comme il me dit que je suis le seul à lui faire (c'est gentil de le dire même si je n'en crois pas un mot, Jimmy, entre autre, est aussi bon sinon meilleur que moi !). Je le suce comme si ma vie dépendait de ce qu'il allait me donner. Au bout d'un bon 1/4 d'heure, j'obtiens son précieux liquide. J'en avale un peu car vu le volume je ne peux tout garder en bouche et me relève dès que je sens ses couilles essorées. Nous reprenons notre roulage de pelle avec cette fois un " lubrifiant " spécial. Trop, trop bon ! Nous ne cessons notre baiser que quand nous nous sommes partagés la totalité de ses spermatozoïdes.

Réajusté, et moi bandant serré/compressé dans le jeans, nous montons à la maison.

J'accompagne Marc qui se change pour une tenue plus WE. Comme il me voit très chaud et qu'il ne rebande pas encore, il attrape un plug dans notre table de nuit et me l'enfonce direct (de l'utilité de découdre les fonds de culotte), histoire de me faire patienter. Même excité comme je l'étais, je l'ai senti passer. La pression du plastique sur ma prostate a entretenu ma bandaison comme la douce douleur de la compression de ma queue.

Nous descendons prendre un apéritif. Le dernier avant le rush du WE touze. Malgré la chaleur, je me colle dos contre le torse de Marc. Nous passons un moment de tendresse où sa main libre me caresse le torse et les abdos s'autorisant parfois un pincement de téton. Dès que je le sens bander de nouveau, je suis sur le sujet. Rotation avec glissement au sol et ma bouche retrouvait le gout de son sexe. Il n'a pas fallut longtemps pour que sa tige soit de nouveau raide comme du bois. Là pas de tergiversations, j'expulse le plug et je m'assois sur ses cuisses en me plantant sur son pieu. Je reste assis le temps que l'élasticité de mon anneau le fasse se coller au cylindre de sa bite. Puis, j'entame la chevauchée. Pour moi, sur mon homme, elle est toujours fantastique !

Me faire prendre ainsi (juste par la fente du jeans) me rappelle nos premières baises quand il m'enculait alors que je travaillais au jardin. Je me penche et nous nous roulons un patin. Il me soulève et sans sortir de moi, me pose dos sur le canapé. Je lève mes jambes sur ses épaules, il reprend notre baiser tout en me limant à coups secs. Ça, plus l'écrasement de mon paquet ajoutés à sa langue qui fouille ma bouche, j'explose de plaisir. mes contractions anales ont raison de sa résistance et je le sens se vider dans mon cul. Bon, très bon !

Je vais me changer, rester avec du sperme froid autour de la bite et le jeans trempé, c'est pas agréable. Mais je renfile le même modèle de short, après tout la soirée n'est pas finie et cela fait 1 semaine que nous ne nous sommes vu.

Diner en tête à tête. Je lui explique ou nous en sommes question préparation du WE. Il me fait parler des parents de Théo. Je lui explique le coup en détail, cotés sexe comme affaire. Il me demande si j'ai bien briefé Samir et Ammed. Je le rassure. Il ont bien compris le rôle de " sécurité " qui leur incombe. Sécurité par rapport à l'extérieur : filtrage et surveillance, sécurité des participants : kpotes, gel et pratiques safe-sex obligatoires. Tout doit se faire dans l'accord des partenaires, pas de rapport non consentis. Là, je pense à Théo qui pour le moment reste encore très accroché à moi ! Même si je crois que ce WE va être pour lui un des grands moments de sa vie.

Dans la soirée, nous faisons l'amour avec une tendresse inhabituelle, probablement en compensation du sexe débridé que nous allons pratiquer dès le lendemain soir.

Vendredi :

Le premier à nous rejoindre est Arnaud notre jeune voisin. Il s'invite dès le café histoire de nous aider. Tic et Tac, peu de temps après, se font déposer par leur père (Igor) sur le chemin de son taf. Dans le milieu d'après midi, arrivent pêle-mêle : Franck, Ric, Jean, Phil et Luc, et nos amis de La Palmyre, Jérôme et son copain Frédéric, Manu et Le premier Théo (Théo1). En fait nous avons récupéré tous les étudiants du " groupe ". Ammed distribue à chacun sa dotation du WE (peignoir, drap de bain et maillots). Je les laisse autour de la piscine le temps d'aller chercher Ed et Théo. Je prend la 300C et fait un aller et retour rapide même si j'ai du recevoir les conseils exceptionnels de leurs parents. Ed de s'interroger sur les raisons du changement parental et Théo de lui préciser, avec une pointe de jalousie, que ce n'est que pour mon cul et qu'ils n'en ont toujours rien a cirer de leurs deux fils. Je suis un peu choqué de la façon dont il dit cela mais Ed soupire de soulagement. Il ne se voyait pas surveillé et dans l'incapacité de continuer notre " petit arrangement ".

Quand nous arrivons, ils sont accueillis bruyamment par la troupe déjà présente. Ed est complètement dans le bain, Théo montre un peu plus de réserve et me colle. Je lui présente tout le monde et le trouve fasciné par les jumeaux. Ils reçoivent leurs cadeaux et se changent devant tout le monde. Samir et Ammed se chargent de leurs affaires. Tac, qui a compris le " problème " de Théo, le prend sous son aile. Jusque là, tout le monde s'est retenu malgré quelques barres bien visibles sous les maillots.

Il faut dire que pour certains, cela fait une bonne année qu'ils ne se sont vu et ils ont plein de choses à dire. Je passe d'un groupe à l'autre et saute d'une conversation où les mecs qui ne se connaissent pas se situent par rapport à moi et Marc (quand nous les avons rencontrés et comment) à une autre où ils s'expliquent leur situation actuelle question baises et financement de leurs études...

Marc nous rejoint en début de soirée quand Bruno et Igor arrivent.

Alcoolisation autour d'un Barbecue. Je suis étonné que personne n'ait encore ne serait ce que sucer une bite ! Je crois que tout le monde attend le top départ de Marc.

Il a lieu après le dessert, et c'est par Ric qui se met à poil pour plonger dans l'eau. Tous les maillots volent en l'air (ça va être facile de retrouver le sien !) et alors commence la première touze du WE. Alors que j'essaye de voir si tout le monde est ok, avec un ou plusieurs partenaires, je me fais happé par un trio composé de Franck, Manu et Théo1. J'ai juste le temps d'apercevoir mon Théo dans les bras des jumeaux. Pèles dans tous les sens, mes lèvres s'écrasent alternativement sur celles de mes partenaires. Nos mains s'égarent qui sur une bite qui sur une rondelle. Et quand tout le monde est bien raide, nous passons aux pipes. Par 2 puis par 4, nous nous léchons la queue avec voracité. Je pense que mes partenaires se sont mi d'accord et comptent me faire un début de WE en beauté. Je me retrouve soudain avec Manu et Théo1 en train de me sucer à deux (trop bon de sentir les deux langues remonter ma tige et se battre sur mon gland) et Franck à me mettre la sienne (de bite, pas de langue) bien au fond de ma gorge. Ma situation évolue quand Théo1 s'attaque à ma rondelle. Il a bien progressé depuis l'été dernier et son anilingus est parfait. Sa langue dépose une couche de salive puis il la met en pointe pour essayer de pénétrer. Entre mon cul, ma bite et ma bouche, je suis occupé de partout. A l'extrême, il me manque une queue dans chaque main et je me transforme en homme orchestre !

Je sens Manu dérouler une kpote sur ma bite et placer son trou jute devant. J'ai juste à donner un petit coup de rein et je suis dans la place. Gémissement de notre part à tous les deux ! Frank quitte ma bouche et s'équipe. Je veux sa bite en moi. Je lui demande de m'enculer et pour faciliter la chose m'écrase sur Manu pour rehausser mon anus. J'enfonce mes 20cm entiers dans Manu et attend Franck. Il écarte mes fesses avec ses mains et plonge son sexe dans mon trou. Yeahh, c'est bon ! Théo1, libre, remplace Franck dans ma bouche. En fait il alterne entre la mienne et celle de Manu. Quand il se fait sucer par ce dernier, j'ai sa langue qui vient se batte avec la mienne. Le temps de se caler et nous bougeons tous en harmonie. Nous ne mettons pas longtemps à atteindre le point de non retour et j'explose dans Manu quand je sens Franck remplir sa kpote. Théo1 n'a que le temps de se retirer de ma bouche avant de juter copieusement sur le dos de Manu qui jute à son tour. L'échafaudage se défait et nous nous écroulons les uns sur les autres.

Reprise de souffle et je relève la tête pour voir ou en sont les autres. Je cherche surtout à savoir avec qui mon Théo baise. Je le trouve en sandwich avec les jumeaux. J'avais raison quand je m'étais dit qu'il les avait kiffé ces deux là ! Tac lui façonne le cul quand Tic lui lime les amygdales. A ce que je vois il aime ça en plus, quelle belle petite salope !

Marc est sur Ric alors que Phil et Luc se font Ed. Plus loin j'aperçois Jimmy en train de se faire la bite d'Igor et Bruno se changer d'Arnaud en mettant entre ses cuisses le cul de Jean. Quand à ce dernier, il teste les compétences des Palmyriens Jérôme et Frédéric.

Samir et Ammed passent entre nous et avec des coups d'oeil discrets vérifient la présence de kpote sur toutes les bites qui s'enfoncent dans les culs.

Je leur fait signe et ils nous apportent à boire, la flemme de se lever !! Nous nous décollons quand même quand le sperme deThéo1 est froid et qu'il nous rend tout poisseux. Direction les douches de la salle de muscu. Nous nous y lavons et massons les uns les autres jusqu'à ce que l'arrivée d'autres touzeurs nous en chasse.

Retour au niveau " baise ". Les derniers protagonistes en action explosent peu de temps après notre arrivée, belle performance ! je glisse dans la piscine et nage lentement, juste pour me décontracter. Quand Ric nous rejoint, nous entamons une compétition en tout petit bassin (10m). Comme d'habitude, au crawl et à la brasse, je gagne, en papillon, je lui cède la première place. Franck arrive toujours 3ème mais c'est une histoire de centième d'après nos supporters.

Cette soirée de fin juin est bien chaude et nous sommes encore à minuit nus ou presque sur les galets ... non la terrasse, certains encore emmêlés.

Mon Théo me rejoint au retour des douches avec Tac. Il tombe dans mes bras et m'embrasse avec la langue. Tac s'assoit à mes cotés et lui caresse les flancs. Je m'aperçois qu'il a du se passer quelque chose entre eux. J'ai juste un pincement au coeur. Après tout, ce serait plus simple qu'il tombe amoureux de quelqu'un d'autre que moi qui suis déjà doublement pris (Marc et Emma). Mais quelque part cela avait flatté mon égo et je me vexe intérieurement de ce qu'il m'ait vite remplacé. Peut être affabulais je ? D'autant plus qu'il se blotti au creux de mes bras.

Mais quand Tac me dit que j'ai trouvé là un super petit mec en continuant à caresser ses jambes venues se poser sur les siennes, je n'ai plus de doute, au moins de ce coté là. Ce WE verrait il la fin de la relation fusionnelle entre les jumeaux ?? Non car Tic nous rejoint, s'assoit sur mon autre coté et avance la main pour caresser mon Théo. Ce qui m'achève c'est la remarque de Théo. Levant la tête vers moi, il me dit que mes amis sont trop bons. Je voulais qu'il perde son innocence et qu'il ne s'attache pas uniquement à moi. Je crois que c'est réussit ! Il me demande quand même si cette nuit il pourra dormir avec eux. J'acquiesce, que faire d'autre ! Je reste encore quelques instants avec eux puis les quitte pour retrouver Marc.

Il est en pleine discussion avec Igor et Bruno.je me mets derrière lui, me colle à son dos et mes bras sous les siens, le serre fort contre moi, la tête sur son épaule. Il ressent mon léger désarroi et m'entraine à l'écart du groupe. J'ai beau sourire quand je lui raconte que Théo (le mien) est en train de tomber amoureux des jumeaux, il voit bien que cela me fait un peu mal et me serre très fort dans ses bras. J'y reste bien 5mn puis me secoue et lui dit que ça va passer. Nous regagnons le groupe et nous leur demandons de nous suivre pour leur montrer les capacités de couchage.

JARDINIER

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Pour ce trente-cinquième épisode de l'émission La Libre Antenne sur ERFM, le camarade Blaise et la section Égalité & Réconciliation des Pays de la Loire m'ont convié à évoquer la praxis du bien vivre en ville en ce début de XXIe siècle... Merci les gars.

Sommaire et musiques:

01- Introduction 4 min 10 : Devienne - Sonate pour flûte, basson et piano 02- Le Prince et la Cité 12 min 06 : Devienne - Sonate pour flûte, basson et piano 03- Style urbain français entre 1840 et 1940 16 min 44 : Rameau - Les Fêtes de Polymnie – Ouverture 04- Paris nomadisée 20 min 42 : RAMEAU - Le Temple de la Gloire - Ouverture 05- Envers du décor et ascenseur 24 min 49 : Marais - Alcione - Deuxième Air des Matelots et Matelotes 06- Les HLM des années 1950-60 27 min 40 : Grétry - Richard Cœur de Lion – Ouverture 07- Banlieue parisienne 29 min 44 : Grétry - La caravane du Caire – Ouverture 08- La ville dortoir 31 min 19 : Philidor – Tom Jones - Ouverture 09- L’esthétique désolée 35 min 38 : Méhul - Symphonie No. 2 en D majeur - Andante 10- Exigence contre décadence 39 min 34 : Saint-Saëns - Bacchanale 11- La propriété comme bouclier 43 min 20 : Saint-George - Ernestine – Ouverture 12- Londres et les magasins provisoires 46 min 44 : Berlioz - Marche hongroise 13- Le ministère de l’Embellissement 49 min 44 : Méhul - Adrien – Ouverture 14- L’ameublement masculin 52 min 37 : Gounod - Symphonie No. 2 - Allegro agitato 15- Le mobilier sprezzatura 56 min 10 : Fauré - Pavane - Andante Molto Moderato 16- Les magasins de mobilier 58 min 56 : Gossec - Symphonie en D Majeur - Minuetto & Trio 17- Le mode d’éclairage intérieur 1 h 02 min 16 : Fauré – Sicilienne 18- La campagne française violée 1 h 04 min 45 : Ravel - Le tombeau de Couperin – Prélude 19- Le rapport de l’homme à la campagne 1 h 13 min 13 : Jaubert - Le Jour se lève 20- Henri Sellier 1 h 16 min 17 : Saint-George - L’Amant anonyme - Ouverture I. Allegro presto 21- Les smart cities 1 h 21 min 00 : Gossec - Symphonie en D Majeur – Allegro 22- Conclusion 1 h 24 06 : New Order - The Himm

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J54 ~ Ciutat de les Arts i les Ciències

València J1

Après une grasse matinée, que j'espère réparatrice, je me mets en chemin pour visiter València. Au programme aujourd'hui : la Ciutat de les Arts i les Ciències. C'est un vaste ensemble de bâtiments qui prends place dans l'ancien lit du fleuve Túria dont le cours a été dévié. Résolument futuristes, les premiers bâtiment sont sortis de terre il y a 25 ans. Le tout est très cohérent et me fait penser à Brasília en miniature.

Le parc offre un terrain de jeux inépuisable pour qui aime jouer avec un appareil photo. J'en fait 3 fois le tour, à la recherche du meilleur angle; j'attends que le soir arrive, à la recherche de la meilleure lumière ; j'attends la nuit...

La cité dispose d'une salle de cinéma Imax Dome. Évidemment, il faut que j'aille lui rendre visite. Je savoure une projection Omnimax argentique 70mm à défilement horizontal 15 perfos (les puristes apprécieront). Le film, lui, est oubliable. Un clip de propagande technologico-béat sans grand intérêt.

Je finis la journée appareil photo à la main. Je suis encore bien malade et fatigué mais j'ai la chance de me trouver seul dans mon dortoir (est-ce à cause de mon état de santé ?).

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pipi au lit à l internat

J’ai toujours adoré faire pipi au lit ,  je sais pas pourquoi, je vais vous raconter surement la fois la plus osée…

Jusqu'à la classe de 3ème, mis a part quelques courts séjours en colonie de vacances, où j’avais été ravi de pouvoir constater que certains de mes petits copains se mouillaient encore allégrement la nuit, ce qui avait sûrement était déterminant dans le besoin moi aussi de le faire aussi, je n’avais jamais réellement quitté le cocon familiale, en tout cas durablement.

Puis vint la seconde. J’avais réussi un concours qui me permettait de rentrer dans une école assez loin de chez moi. Sur le coup je n’étais pas peu fier. Habitant à 400 km de là, naturellement je me suis retrouvé interne, je n’avais jamais connu ça.

Nous dormions dans d’immenses dortoirs qui étaient configuré en boxe individuel, matérialisé par des cloisons qui ne montaient pas jusqu’au plafond et dont la relative intimité était réalisée au moyen de rideaux accroché à une tringle et de 3 cloisons légères.

Cet agencement, une fois le rideau tiré, ménageait une petite zone de relative intimité, ou, même loin de nos parents, on se sentait un peu chez soi. La nuit, fort de cet abri de tranquillité plus imaginaire que réel, moi-même et mes copains du même âge, on pouvait se tripoter un peu la l’abri des regards, si ces petits moments de plaisir intimes n’avaient pas, parfois été trahis par un lit qui grince un peu mêlé au bruissement des draps et parfois un petit gémissement qui échappait à l’un de nos copains.

A cette époque, je ne pouvais plus me livrer à mes petits jeux de pipi au lit, la semaine, impossible, après c’était le week-end, et là, avec les parents sur le dos, très peu… Les premiers mois, la peur du nouveau, les interdits, la méconnaissance des lieux, je n’y pensais même plus, enfin je croyais.

Les couchages étaient fournis par le lycée, c’était à l’époque l’une des rares écoles proposant des bacs techniques hôteliers, et certain de mes copains ne rentraient chez eux que durant les vacances. L’école n’était d’ailleurs pas trop mal étudiée pour ça, il y avait même un lavomatique dans la rue. Et puis doucement, le fait de ne plus pouvoir me faire plaisir et pisser au lit de temps en temps a commencé à me manquer vraiment, surtout que les wc étaient  à l’autre bout du dortoir et qu’il y faisait souvent par très chaud. Mais comment faire. Je n’arrivais pas à trouver l’idée… au jour d’aujourd’hui, je pense que je me serais peut être acheté des couches et que je m’en serait peut être contenté, mais à l’époque, j'y pensais, pas, Le change des draps se faisait par roulement, cycliquement on déposait nos draps au bout de la périodicité prévue, et on en récupérait d’autres. Au début il y avait systématiquement un pion qui s’occupait de ça et très vite le local est resté ouvert, pas grand monde le savait, moi j’avais repéré, si bien qu’un jour je me suis introduit dans cette pièce dans laquelle était posé sur les étagères les couchages.

Et discrètement, j’en suis ressorti avec…2 draps et comble de bonheur, dans le fond d’un rangement il y avait des grands morceaux de caoutchouc et la c’était le bonheur, pourquoi, parce qu’il n’était pas question un seconde que j’abîme le matelas en dessinant un auréole dessus, donc un pipi au lit était impossible, comme ça.

Il y avait bien la possibilité de protéger le lit avec un sac poubelle, c’était la solution de la maison, ça marchait bien, mais gros inconvenant le bruit !

Un sac poubelle ça se froisse et j’aurais sûrement éveillé les soupçons sur moi… mais avec l’alèze que je venais de me dégotter, et puis, s’il y avait une alèze, c’est qu’un jour il y avait eu au moins un pisseur et ça, ça m’excitait  aussi.

Et dans ma tête un plan machiavélique se mettait en place. Je ne suis pas sorti tout de suite avec mes trouvailles, je ne les ai rapatrié que plus tard a un moment ou j’étais sur de ne croiser personne.

Dans l’autre sens je n’avais pas peur, il suffisait de ramener les draps pliés à la buanderie à l’étage en dessous le jour voulu, aucun risque, et au milieu de la pile, si un drap était mouillé, impossible de savoir précisément a qui il était….

Ça y était j’avais trouvé une possibilité.

J’allais pouvoir le faire enfin

quelques soirs plus tard, j’ai discrètement démonté mon lit, j’ai vite positionné l’alèse à la hauteur de mes fesses, je l’ai recouverte de 4 grandes serviettes, style très épaisses, qui absorbent bien, j’ai remis le drap du dessous et celui du dessus, la couverture, le tout bien bordé, et j’étais prêt.

Je ne l’ai pas fait la première nuit, ni même la seconde…

Je savais que le lit était prêt mais paradoxalement, je n’étais plus pressé, non pas que je ne le voulais plus, mais je savais qu’il n’y aurait pas beaucoup de fois, car malgré tous mes calculs je voulais être sur qu’il y avait pas trop de risque.

Je m’étais préparé a tout réfléchissant à ce que j’allais faire du pyjama mouillé, des serviettes de bain, le plus facile, c’était les draps, il suffisait de dire que je les changeais et je les descendais juste avant d’aller au petit déj.

Les affaires mouillées, j’avais décidé que j’irai au lavomatique de la rue de l’école après la classe…

Tout semblait possible, le risque 0 de se faire pincer n’existe pas, mais ça semblait pas irréalisable.

Et de soir en soir je sentais mon plaisir monter graduellement.

Souvent il m’arrivait de m’endormir en me masturbant en imaginant que j’étais en train de pisser dans mon lit au milieu de mes copains, dont j’entendais les respirations de la nuit, et ça m’excitait au plus au point.

Je me préparais à pisser une nuit au lit pour de vrai, comme les petits copains des colos, lorsque j’étais plus jeune, sauf que là, j'étais déjà grand pour faire pipi dans la culotte de pyjama., et chaque jour à ne pas le faire réclamer un peu plus d’énergie. je commençais à rêver que le matin je me réveillais dans mon lit mouillé, pas exprès, de la nuit. Je savais que là ça allait être très fort, d’abord parce que j’en avais monstrueusement envie, ensuite, une fois que je l’aurais fait, comme je ne pourrais rallumer la lumière pour changer mon lit, au risque de me faire voir, il allait falloir que j’attende je petit matin et les premiers rayons de soleil a travers les rideaux pour le faire, donc obligation de rester toute la nuit dans mon pipi. ( a la maison souvent après je mettais tout de suite après le drap à sécher sur le radiateur). Ce pipi au lit, il fallait que ce soit un vrai, je veux dire pas trop calculé, je savais que c’était impossible parce que j’étais propre depuis tout petit, mais il faillait que ça y ressemble en tout cas…

Le soir, j’omettais sciemment d’aller au wc avant de me coucher.

mis à part la première fois, je n'étais jamais resté une nuit dans mon lit mouillé, là, j'allais le faire....

Il m’est arrivé une fois ou 2 de me réveiller avec une super envie vers les 6 heures, mais c’était trop tard, plus le temps, je me disais peut-être demain…et je me retenais jusqu'à heure de se lever.

Une nuit pourtant, je m’étais couché particulièrement énervé par une interrogation sur la chimie particulièrement chiadée qui devait avoir lieu le lendemain, et durant mon premier sommeil j’avais ressassé en boucle des heures de révision qui m’avaient exténuées, et je m’était endormi comme une souche sans avoir eu même besoin de me tripoter avant.

Mais à une heure j’ai été réveillé par un copain qui rêvait dans un boxe plus loin, en plus j’avais envie de pisser…j’avais envie de pipi….et mon cerveau s’est remis en route, envie de pipi… lit protégé….besoin de me calmer pour l’intero de demain….j’ai vérifié avec le plat de mes mains si l’alèse et les serviettes étaient en place… tout était en place.

Et, tu me croiras, si je déplace une virgule, tout ça c’est plus vrai, abruti de sommeil, heureux de savoir que je ne risquais rien, sans aucune préméditation immédiate, j’étais alors sur le dos, les jambes légèrement écartées et… et je me suis laissé aller sans réfléchir. D’habitude je ne peux pas, et quand j’y ai trop pensé avant alors je bande comme un fou, là j’étais tout décontracté et ce qui devait arriver arriva…j’ai senti que je commençais à faire pipi dans ma culotte de pyjama promis, ça s'est passé comme ça !

Et ça y était c’était parti. Et d’un coup je me suis senti léger,  j’avais l’impression de flotter, je sentais le pipi couler dans ma culotte et entre mes fesses et j’étais bien, bien comme je ne l’avais jamais été auparavant, j’avais à l’instant même l’impression de réaliser totalement mon phantasme, je pissais dans mon lit au milieu de mes copains, ça y est je le faisais

, ça y est j'étais petit, c'était la nuit, dehors il y avait du vent, il faisait froid dans le dortoir, il n'y avait pas que moi, je me ferais pas disputé et tant pire moi aussi je pouvais bien faire pipi dans mon lit comme ceux à qui ça arrivait des fois....

, et je laissais aller mon pipi dans la culotte et dans le lit tout doucement......ça y est, je l’avais fait

J’avais les fesses toutes chaudes, le pyjama me collait à la peau, je me sentais trempé…

Avec la main j’ai évalué les dégâts

Oups, je l’avais fait pour de vrai,

De plus je me sentais soulageais, comme quand te viens de faire une énorme envie.

Et j’ai commencé à bander dan mon pyjama mouillé comme il y a fort longtemps que cela ne m’était plus arrivé

Je me suis retourné comme j’aime le faire

Et je j’ai frotté mon sexe sans même ôter le pyjama, contre le drap encore tout chaud de mon pipi et trempé et j’ai senti monter en moi la plus belle éjaculation de l’année, celle qui dure un temps monstrueux, ou tu sens des torrents de sperme traverser à la vitesse de la lumière ton sexe…

A six heures je ne me souvenais plus de cet épisode…

Ma première réaction à été…

-           merde j’ai pissé

Heureusement la suite s’est passé comme je l’avais prévu, et personne n’a vu le drap auréolé de mon pipi de la nuit lorsque je me suis levé et je te promets, il l'était. Je n’en menais pas large quand même.

quand je me suis levé, mon pyjama me collait encore au fesses, c'est pour te dire !

Les mois suivants, il y a eu une autre fois, mais bien moins forte, après ça a été fini les pipis au milieu des copains, j’habitais chez une vieille dame qui me logeait, interdit de jouer à ça, alors j’ai commencé à m’occuper de mes copains d’abord, et des copines aussi…. C’était peut-être mieux…. mais un jour, alors que je faisais un extra de quelques jours avec un copain d'une classe en dessous de la mienne avec qui je m'entendais bien, j'ai eu ma première relation sexuelle avec un garçon

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Une relation qui commence
w/ @scentofhistory

Il y avait bien longtemps à présent que la jolie blonde avait commencé à éprouver des sentiments pour le plus jeune des six enfants Weasley, la famille qui avait recueilli la jeune Smith au décès de ses parents. Pourtant ses sentiments, la jeune sorcière n'avait jamais osé les avouer à haute voix, seule sa meilleure amie, Fleur, était dans la confidence et l'encourageais à sauter le pas pour trouver le bonheur. Heureusement pour la jeune Smith, elle n'avait pas eu besoin de faire le premier pas, puisque tu l'avais fait à sa place, ce qui lui avait permis d'avouer à son tour, les sentiments qu'elle avait à ton égard. Une première étape d'une longue série, du couple que vous formez à présent.

ㅡ Qui te dit qu'on vas devoir attendre de rentrer au terrier ? Je viendrais te rejoindre discrètement dans le dortoir le soir, je doute que McGonagall apprécie, il faudra que je fasse attention.

Te répondit alors la blonde avec une lueur de malice dans les yeux, après tout, il y avait des occasions qui méritaient d'enfreindre quelques règles quand c'est nécessaire.

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